Le contentement… Dans notre société où tout est question d’avoir plus, de faire plus, de faire mieux, le contentement est souvent laissé de côté parce qu’on a le sentiment que l’on aurait pu avoir plus, que l’on aurait dû faire mieux. La possibilité de nous améliorer est et sera toujours en nous, c’est l’une des beautés de la nature humaine. Comme les enfants qui apprennent à marcher avant d’apprendre à courir, on s’améliore par étapes, un pas après l’autre. Chaque pas est un succès, chaque pas est suffisant et peut nous apporter du contentement.
Le contentement commence par accepter qu’il existe des millions de possibilité pour continuer à nous améliorer; en acceptant cela, on peut alors accepter que toutes ces possibilités arriveront, dans un futur que l’on ne maîtrise pas mais pour lequel nous sommes confiants, et alors nous n’avons pas de regret de n’avoir pas bien fait aujourd’hui, car demain apportera une nouvelle opportunité pour évoluer.
C’est en mettant de côté nos attentes sur ce que l’on devrait être que l’on se donne la possibilité de voir la réalité : nous sommes déjà plein de qualités qui ne demandent qu’à s’exprimer. En se focalisant sur ces qualités, sur nos points forts, on entre dans une spirale positive qui nous permet de nous améliorer là où l’on peut s’améliorer (et qui nous permet aussi d’améliorer ce que l’on ne pensait pas pouvoir améliorer : Dr. Frederickson, Positivity). Au niveau interpersonnel, en se concentrant sur les qualités des personnes qui nous entourent, on leur offre la possibilité de les cultiver et d’entrer à leur tour dans cette spirale positive, et la relation s’améliore aussi d’elle-même : une très bonne raison d’entraînez et de musclez notre cerveau !
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